Rouergat d'Abord "les identitaires" !
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jeudi 25 septembre 2014

LA RACAILLE ANTIFASCISTE MENACE RICHARD ROUDIER À MONTPELLIER


Le coté « enfantin » des « revendications » pourrait faire sourire si la moitié des inscriptions qui ont recouvert les alentours de l’université Paul Valéry n’étaient pas des appels au meurtre caractérisés.
Ces comportements n’ont rien d’étonnant et s’inscrivent  dans un climat local inquiétant où quelques individus en quête d’identité (ethnique, familiale, sexuelle…) et en mal de romantisme se complaisent  dans ce qu’il y a de plus stupide (donc de plus confortable) à gauche: l’antifascisme. Vaste escroquerie idéologique qui permet de se conforter dans la position du détenteur du Bien face aux représentants du Mal c’est à dire à peu près tout le monde qui ne partage pas la dite opinion. Moralement assuré de l’immanence de ses idées, le petit militant antifa pourra se lancer dans sa Croisade en toute bonne conscience et employer les méthodes dont il accuse à longueur de blog ses ennemis. Violence physique systématique, fichage des opposants et dénonciation anonyme via internet, chasse aux opposants politiques, menaces de mort…
Un petit séjour en psychiatrie serait sans nul doute la solution pour quelques uns d’entre eux.
Malheureusement, ces nervis se sentent pousser des ailes du fait de l’impunité quasi totale dont ils jouissent localement aussi bien que nationalement. Rappelons-nous de la mise à sac de la ville de Nantes lors d’une manifestation contre l’aéroport par exemple. Localement les concerts antifas sont organisés directement… dans la fac de lettres!
Les antifas locaux ne prennent même pas la peine de se présenter au tribunal quand il sont convoqués. Comme l’agresseur de Richard Roudier en 2010 Mr Bruno Cifre, agent de sécurité (sic), qui a participé malgré tout le 15 décembre 2013 à la tentative d’agression sur le même Richard Roudier à 20 contre 3. Quel courage!

Lorsqu’ils daignent répondre aux convocations, la clémence des juges est tellement flagrante que ça en est pathétique. La condamnation de Jean Sanchez dit Yahyah (Jeunesses Communistes de l’Hérault) pour des violences sur agent des forces de l’ordre à 15 jours de prison avec sursis en est l’illustration.

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