Rouergat d'Abord "les identitaires" !
Nous refusons de devenir des
étrangers sur la terre de nos ancêtres et affirmons avec fierté notre identité languedocienne,Française et Européenne


vendredi 10 janvier 2014

Le patron de l’Agglorieuse condamné pour diffamation envers Richard Roudier


Le patron de l’Agglorieuse condamné pour diffamation envers Richard Roudier

Joli cadeau du Père Noël pour Richard Roudier… On se souvient du feuilleton judiciaire qui opposait depuis deux ans et demi le président de la Ligue du Midi au directeur de l’Agglorieuse journal de potins Montpelliérains dont la qualité cardinale n’est pas le vérification de ses sources. Après avoir utilisé tout un lot de manœuvres dilatoires et obtenu plusieurs renvois, le directeur de publication était enfin jugé à la fin de l’année 2013.
Rappelons les faits qui commencent à dater : le 22 juin 2011 en page 2 et sur pratiquement une pleine pagehttp://issuu.com/lagglorieuse/docs/449/3?e=0), l’Agglorieuse accusait Richard Roudier d’accueillir dans sa propriété des Cévennes des séances d’entrainement commando (rien que ça!), il était précisé que ces séances se faisaient avec des armes réelles(kalachnikov) et, cerise sur le gâteau, que les entraînements étaient placés sous la haute autorité de Maxime Brunerie, cet individu qui s’était fait connaitre du monde entier pour avoir tenté d’abattre Jacques Chirac, président de la république, avec une carabine 22 LR lors de la revue du 14 juillet 2002 sur les champs Elysées.
L’intention de nuire étant évidente, ainsi que le caractère public de l’offense (et ce même si la feuille de chou a un titrage limité, et les faits n’étaient pas étayés), Richard Roudier portait plainte devant le Tribunal de Grande Instance de Montpellier. Evidemment, le directeur le la publication Tristan Cuche faisait défaut ce jour là devant la chambre correctionnelle en se faisant représenter par son avocat, certainement plus à l’aise devant son ordinateur que devant ses contradicteurs. Richard Roudier interrogé par la présidente du Tribunal indiquait n’avoir jamais rencontré Maxime Brunerie et soulignait le caractère infamant de l’article.
L’avocat de l’Agglorieuse indiquait, toute honte bue, qu’il n’apporterait pas la preuve des allégations de son client et qu’il plaiderait la bonne foi, déclenchant les sourires sarcastiques de la salle.
Résultat des courses : l’Agglorieuse en la personne de son directeur était condamnée à une amende de 500 euros avec sursis, 1200 euros de dommages-intérêts et 1000 euros au titre de l’article 700 du NCPC.

Aucun commentaire: