Soutien a la bac de Millau

Les identitaires du Languedoc apportent leurs soutiens à la Bac de Millau et au brigadier-chef Cabal.

Depuis maintenant plusieurs jours, Millau est en émoi. En émoi depuis le 26 juin dernier, date à laquelle les policiers de la brigade anti-criminalité ont été obligé d’utiliser leurs armes dans l’exercice de leurs fonctions. Ce jour-là, Nabil Nabtoul, “chance pour la France” au volant de son Audi A3, refuse d’obtempérer aux injonctions des forces de l’ordre et de stopper son véhicule. Après avoir tenté d’échapper aux policiers, ce dernier perd le contrôle de son véhicule et tente d’écraser un représentant de la loi. Un des agents, pour protéger son collègue clairement en danger, fait usage de son arme et abat le délinquant. Plus d’un kilo de résine de cannabis seront trouvés dans le véhicule de Nabtoul. L’agent incriminé, un brigadier-chef de 37 ans, très bien noté par sa hiérarchie et déjà décoré pour bravoure, est placé sous contrôle judiciaire.

Nous apportons tout notre soutien aux hommes de la BAC, toujours en première ligne dans nos villes laissées aux mains des bandes ethniques par un pouvoir démissionnaire.

Nous demandons que la présomption d’innocence, si souvent mise en avant pour défendre les racailles et autres voyous, soit aussi appliquée aux policiers et gendarmes qui assurent notre sécurité quotidienne souvent au péril de leurs vies.

Nous rappelons également que suite à la mort du dealer Nabtoul, c’est près d’une dizaine de véhicules qui ont été incendiés à Millau la semaine dernière.

Nous dénonçons aussi le comportement irresponsable du pseudo « collectif pour la dissolution de la BAC de Millau », idiot utile du système. Ce collectif se permettant de demander aussi la démission de l’officier responsable de la circonscription de police et de mettre en doute la parole des fonctionnaires. Quelle réaction aurait-il eu si Nabtoul avait tué un policier ou encore un passant ?

Face à la racaille qui envahit nos cités et pourrit la vie de nos concitoyens, les identitaires feront bloc avec les forces de l’ordre et renouvellent leur soutien aux hommes de la BAC.